Le titre du roman et la métaphore de la germination
Thème 10 .
Tout d'abord, la définition de Germinal.
C'est le septième mois du calendrier républicain allant du 21 ou 22 mars au 18 ou 19 avril, ainsi nommé parce qu'il est le mois de la germination.
A la fin du roman on peut constater que Zola fait une comparaison. Il décrit un paysage fleurissant " les bourgeons crevaient en feuilles vertes", qui est en fait "une armée noire, vengeresse, qui germait lentement". L'auteur fait référence à un fait historique. Le 1er avril 1795 un soulèvement eu lieu, du à la misère, des faubourgs parisiens contre la Convention thermidorienne. On parle alors de métaphore de la germination, qui est enfaite le germe d'une idée et d'actes de révolte qui se répand.
Extrait:
"Quant à ce titre de Germinal, je ne l'ai adopté qu'âpres bien des hésitations. Je cherchais un titre exprimant la poussée d'hommes nouveaux, l'effort que les travailleurs font, meme inconsciemment, pour se dégager des ténèbres si durement laborieuses où ils s'agitent encore. Et, c'est un jour, par hasard, que le mot Germinal m'est venu aux lèvres. Je n'en voulait pas d'abord, le trouvant trop mystique, trop symbolique ; mais il représentait ce que je cherchais, un avril révolutionnaire, une envolée de la société caduque dans le printemps. Et peu à peu, je m'y suis habitué, si bien que je n'ai jamais pu en trouver un autre. S'il reste obscur pour certains lecteurs, il est devenu pour moi comme un coup de soleil qui éclaire toute l'oeuvre."
A la fin du roman on peut constater que Zola fait une comparaison. Il décrit un paysage fleurissant " les bourgeons crevaient en feuilles vertes", qui est en fait "une armée noire, vengeresse, qui germait lentement". L'auteur fait référence à un fait historique. Le 1er avril 1795 un soulèvement eu lieu, du à la misère, des faubourgs parisiens contre la Convention thermidorienne. On parle alors de métaphore de la germination, qui est enfaite le germe d'une idée et d'actes de révolte qui se répand.
Extrait:
"Quant à ce titre de Germinal, je ne l'ai adopté qu'âpres bien des hésitations. Je cherchais un titre exprimant la poussée d'hommes nouveaux, l'effort que les travailleurs font, meme inconsciemment, pour se dégager des ténèbres si durement laborieuses où ils s'agitent encore. Et, c'est un jour, par hasard, que le mot Germinal m'est venu aux lèvres. Je n'en voulait pas d'abord, le trouvant trop mystique, trop symbolique ; mais il représentait ce que je cherchais, un avril révolutionnaire, une envolée de la société caduque dans le printemps. Et peu à peu, je m'y suis habitué, si bien que je n'ai jamais pu en trouver un autre. S'il reste obscur pour certains lecteurs, il est devenu pour moi comme un coup de soleil qui éclaire toute l'oeuvre."
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